Sadismus Jail
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une nouvelle arrivante (libre)

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une nouvelle arrivante (libre) Vide
MessageSujet: une nouvelle arrivante (libre) une nouvelle arrivante (libre) EmptySam 16 Jan - 13:17

Je suis dans un avion en direction de l'Allemagne pour aller à la prison de haute sécurité, Saa.., Sadismus? oui, Sadismus. Je suis entre les deux gardiens, ils parlent entre eux donc je n'arrive pas à dormir mais je tombe de fatigue... Alors je pense à tout et à rien, je ne les écoute pas. Alors que je suis le point de m'endormir, un voix retentit dans le haut parleurs:

- Mesdames et monsieur, nous sommes sur le point d'atterrir, veiller vous rassoir et boucler votre ceinture.

Maintenant, je ne suis plus pressé d'arriver, malgré les menottes beaucoup trop serrés qui font saigner mes mains. Mais j'ai l'habitude de souffrir donc je supporte. Je trouve que le verdicts est injuste mais je ne leur ai pas dit qu'il m'avait violer et battue tous les jours... Je n'osait pas, même après sa mort, j'ai toujours peur de lui, c'est con... je le sais. un gardien me dit:

- Alors chérie, tu saigne, t'aurais besoin d'un pansement?

Je ne réponds rien, je me retient, je bouillonne à l'intérieur. Les gardiens éclate de rire et je pète un câble. Je lui crache à la figure et murmure:

- Connard.

Le gardien me fou un cout de poing et dit:

- Recommence plus jamais ça...

Ils me font entrée dans un camion qui les attendait à la sortie de l'aéroport. il parait que le trajet durera qu'une heure. Je soupire et murmure:

- si j'aurais été plus en forme, j'aurais pu te foutre par terre...

Les gardiens discutent et parlent. Moi pendant ce temps, je m'endors. Je suis réveillé en sursaut par le camion qui s'arrête. J'ai un sommeil léger parfois... Les portes s'ouvrent et ils me font descendre. Le gardien qui conduisait le camion dit:

- Voilà ta nouvelle maison, je suis sûr que tu t'y plaira.

Les gardiens éclate de rire de nouveau. il m'emmène à l'entrée de Sadismus attendant le gardien qui me fera entrée dans cette enfer. Mes mains me font de plus en plus souffrir et je suis sûr qu'on peut voir le cout du gars. Et voilà, j'ai foutu ma vie en l'air à cause de mon géniteur, franchement, c'est super non?
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Philippe Arther
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Philippe Arther

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MessageSujet: Re: une nouvelle arrivante (libre) une nouvelle arrivante (libre) EmptyDim 17 Jan - 9:25

Premier poste, faire entrer une nouvelle pensionnaire. On me file le dossier. Avec une feuille à remplir: paperasse. Comme dit, ce doit être fait, alors je le fais. Dans le dossier, paramètres médicaux, crimes. Ici, double homicides, père et sœur jumelle. Mouais, pour une p'tité de 1m60, le père devait pas être trop gros. Je ne suis pas là pour les juger, de toute façon, d'autres s'en sont déjà octroyés le droit. Comme d'habitude, on ne sait s'il faut la mettre en prison ou dans un asile. Compromis: Sadismus. Je sorts, en prenant soin de filer le dossier au mec derrière sa grille, qui prend objets et effets personnels. Ils sont déjà là. OK. Deux grosses brutes encadrant une jeune fille, pas bien haute, pas bien grosse. Pas l'air d'une criminelle.

Quoi qu'il en soit, je suis enfin dehors. Je sors un paquet de Lucky, l'ouvre, une petite tape en dessous, une clope qui se démarque, et je la prends entre mes lèvres, ignorant pour l'instant les nouveaux venus, qui, je crois, ont opté pour le statut de spectateur. La paquet rangé, le zippo ayant fait son devoir, je puis m'atteler à la tâche. Tiens, il y a une goutte de sang sous moi. Pas étonnant en fait, les mecs y sont pas allés de mains mortes pour les menottes. Je signe la décharge, pour qu'ils puissent enfin se barrer. Mais apparemment, ils n'ont pas l'air d'avoir tout compris.

Arther - Vous pouvez y aller. Dé-menottez là, on prend la suite.

S'ensuit une situation délicate. Quand ils lui enlèvent ses menottes, et que moi je lui passe les miennes, il y a toujours un laps de temps, une occasion à saisir pour se barrer. Donc je suis sur mes gardes, prêt à sortir le glock, ou à envoyer une des extrémités de mes membres, toute petite qu'elle soit. Pas le droit à l'erreur. Ca se passe plutôt bien, par contre, moi, je préfère les mains dans le dos. Plus handicapant. J'aurais pu essayer de faire gaffe à pas trop les remettre sur ses plaies, mais je me contente de pas trop les serrer. De toute façon, si elle arrive à s'en défaire, ce sera une bastos dans le crâne. Les deux gorilles restent, m'en fout. Je procède à la fouille au corps. Je l'ai fait assez de fois pou ne plus être gêné de toucher les parties intimes du sexe opposé, mais toujours avec autant de minutie, luttant contre l'habitude et la médiocrité qu'elle apporte. Rien. Les deux gardiens rapportent des affaires: katana, couteaux. OK. Elle et p'tet pas si inoffensive que ça, en fait. Une fois qu'ils se sont barrés, les portes refermées, on est plus que deux.

Et encore un moment fait pour l'humiliation du prisonnier. La mise à nu. Troquer ses habits, pour le dernier uniforme de sa vie. Je le lui donnerai, sa taille, son matricule. Une pièce est faîte pour ça, mais manque de main d'œuvre, donc c'est soit à moi, soit au garde qui en surveille l'endroit. Cela va être moi. Non par compassion, car l'autre porc est déjà en train de la déshabillé du regard, mais par professionnalisme. C'moi qui est signé le document, c'est moi qui lui présente les lieux. Après, elle est libre, mais avant, c'est ma responsabilité. Et vu comme je me fous des manifestions de la libido de mon collègue, on se retrouve à deux dans la salle. Je lui enlève les menottes, et lui file son uniforme. Ce qui reste à faire, ça s'impose de soi même. Se foutre à poil devant un inconnu, c'est la procédure. Point. Elle n'a pas l'air d'avoir trop confiance, moi je fume, à l'intérieur de la pièce, et comme d'habitude, je m'en fous un peu de la confiance qu'elle peut m'apporter. Il n'y a qu'un question que je suis en train de me poser, c'est si elle se demande si ça pourrait être pire. Je connais la réponse, avec le gros tas d'hormones derrière la porte.
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MessageSujet: Re: une nouvelle arrivante (libre) une nouvelle arrivante (libre) EmptyDim 17 Jan - 14:06

Je vois quelqu'un arrivé, un gardien? Je le dévisage quelques secondes attendant qu'il fasse son boulot. Ceux qui m'entoure m'enlève les menottes, pendant deux-trois secondes, j'ai moins mal au main. J'aimerais bien ne plus exister, être morte comme ma sœur. je laisse échapper un faible sourire en pensant qu'elle a de la chance. Ça aurait du être l'inverse car elle aimait la vie moi pas. Je tends mes mains au gars qui va mes remettre des menottes, je suis fatigué de combatte, j'ai plus envie. J'attends pas la mort avec impatiente, c'est tout. Quand ils s'approchent pour me fouiller, je trésaille laissant échapper quelques secondes un visage plein de peur. La fouille fini, je reprend quelques couleurs et reprend un visage impassible. Pendant que les portes se ferment, je regarde dehors, un endroit où je n'y mettrai plus les pieds, plus jamais. Je laisse échapper en murmure:

- On aurait du s'enfuir, Lena... il aurait arrêté... tout aurait été fini même si la vie n'aurait jamais été comme avant.

On arrive dans la pièce, où il faut se déshabiller. Le gars qui surveille l'endroit me déshabille du regard, je veux pas être avec lui. Il est comme mon géniteur, ce regard de pervers. C'est dégoutant. Mais j'ai été violer chaque jour pendant 3ans. Alors une de plus ou de moins, c'est la même chose non? je m'étonne moi même à penser ça. Je m'en fou complètement de la vie, j'attends la mort, c'est tout. Il m'enlève les menottes et commence à fumer, je tousse, je hais la cigarette. Il me file mon uniforme, je soupire, je déteste ça il va voir mes cicatrice du au mutilation, au tentative de suicide et à l'opération. Mais au fond, qu'est que ça pourrait lui faire d'avoir une fille comme moi dans la prison? rien, non? En tout cas, il a l'air plus professionnel que le gars qui surveille l'endroit. C'est déjà pas mal. Je commence à me déshabiller laissant à l'air libre mes cicatrices et je soupire. Je laisse tomber mes affaires avec regret, je les aimais bien moi. J'enfile en quatrième vitesse mon dernier habit, le dernier vêtement que je mettrai de ma vie. Car même si je sors en jour, je me balancerai un couteau dans le cœur et j'irai rejoindre ma sœur. Je souris et laisse échapper une larme. Enfin habiller, je le regarde et j'attends en croisant les bras. où est qu'on va aller maintenant?
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Philippe Arther
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MessageSujet: Re: une nouvelle arrivante (libre) une nouvelle arrivante (libre) EmptyDim 17 Jan - 16:18

Je continuai à fumer, puis finalement, elle s'est décidée. Plus résignée que forcée, à mon avis. Assez pour avoir confiance, enfin, façon de parler, pour ne pas lui remettre ses foutus bracelets. J'ai tout de même indiqué qu'ils nous avaient livré un colis en mauvais état. Presque fini, ma cigarette, et elle s'est revêtue. Elle se pose devant moi, les bras croisés. Et maintenant, hein? C'est moi qui fait la visite. Je lui fait un signe de tête pour qu'elle me suive, direction l'aile des prisonniers, en jetant ma cigarette dans une poubelle, et en faisant comprendre au primate derrière la porte qui peut venir prendre ses affaires. C'est tout ce qu'il aura: ses affaires. Même si je sais pertinemment qu'à Sadismus, il peut trouver un moyen d'assouvir ses besoins.

Sa cellule. Là où elle va passer le plus clair de son temps. Presque pépère, si ça avait été une prison normale. C'est vrai, dans une cellule, à ne rien faire de ses journée, avoir tous le loisir de penser sur tout, sur rien, sur ce que l'ont veut. Les gens doivent y développer une certaine liberté d'esprit.

Arrivée devant la cellule n°1. Je ne connais pas ses colocataires. Je ne suis pas assez empathique au point de lire les dossiers de tous ceux qui vont toucher de près ou de loin à ma vie. Je ressors le paquet de cigarettes, en sort une, et la rallume. Normalement, pas le droit de fumer dans l'établissement. Normalement. Je réajuste mes lunettes, c'est plus un tic qu'une nécessité, et ouvre la cellule n° 1.

Arther - Ta cellule.

Et voilà, mon boulot s'arrête là. Je la regarde, en fumant. Mais quitte à fumer, j'essaie de ne pas trop l'indisposer, elle n'a pas l'air d'aimer ça. J'apprécie qu'on ne soit pas emmerdant avec moi, alors j'essaie de ne pas l'être. Je fume loin, histoire que ni l'odeur, ni la fumée ne l'indispose. Bien que celles que je fume ne soient pas spécialement fortes. Fin du dossier. Direction le QG logistique. J'ai fait ma tâche. Le travail continue. Le temps de finir ma cigarette, en observant le comportement de la nouvelle venue. Je prends le risque qu'elle engage une conversation avec son premier pilier de Sadismus, enfin celui dont elle croit qu'elle a le plus de raison de se rattacher en terrains et monde nouveau. Nicotine oblige.
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MessageSujet: Re: une nouvelle arrivante (libre) une nouvelle arrivante (libre) EmptyDim 17 Jan - 17:48

Il me fais un signe de tête et avance, je le suis silencieusement. Je laisse tristement mes affaires derrière moi. Maintenant, je n'ai plus que mes cicatrices et mon tatouage. il s'arrête, on doit être devant ma cellule. Il me dit:

- ta cellule

Je me dit pour moi même:

- super, je vais m'amuser...

Je souris. Voila l'emmerdement qui commence. Je regarde le numéro de ma cellule, bah oui, ca serait con si je ne serais pas quel numéro c'est... J'espère pouvoir me repéré dans tout ces couloirs. Ils sont long comme un labyrinthe... Je le vois restant un peu éloigner de moi, il fume de nouveau; Je demande s'il a remarqué que je n'aimais pas ça? je suppose sinon il serait plus près... Il a l'air professionnel, c'est bien. Il reste là, il attend? Il termine sa cigarette où il attend d'engager la conversation? je sais pas. On dirait que c'est le moment où les prisonnier peuvent sortir de leur cellule car il y a personne. C'est cool, je suis arriver au bon moment.
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