Présentation rapide : L'Antre de la Folie est un JDR par forum inspiré par Stephen King, H.P. Lovecraft, John Carpenter et d'autres, et évidement par leurs œuvres. Son nom est d'ailleurs directement issu du film Into the mouth of madness de Carpenter. Le cadre de jeu est un village coincé entre la mer et une falaise, surplombé par l'oppressante présence d'un château médiéval. Les personnages se trouvent plongés dans une atmosphère grinçante, poussiéreuse et aux vagues relents de moisissure... Concernant le rôle-play, il se trouve à la mi-chemin de deux grands genres existants : un Maître du Jeu est présent, dictant parfois les actes et les évènements, mais une très grande liberté d'action et d'initiative est laissée aux joueurs.
Contexte :
Spoiler:
Les Muses... Tout le monde les connait.
Calliope la muse de l'éloquence et de la poésie épique; Clio celle de l'Histoire; Erato des arts lyriques et chorals; Euterpe qui inspire la musique; Melpomène la tragédienne; Polymnie, muse de la rhétorique; Terpsichore la danseuse; Talie qui inspire la comédie; et enfin Uranie l'astronome.
Mais connaissiez vous Pépromène ?
L'art est un domaine qui de tout temps a été fort controversé, animé de querelles, parfois régit par des normes castratrices et surveillé de près par les autorités du Bon Goût. Cependant il serait vain de nier l'impuissance de cette répression. Jérôme Bosh, D.A.F. de Sade et plus récemment certains cinéastes tels que Takeshi Miike, John Carpenter ou encore des écrivains - H.P.Lovecraft et Stephen King pour ne citer qu'eux. Nul n'oserait leur soustraire le statut d'artiste et pourtant qui n'a jamais pensé en découvrant leur œuvre : "Mais où vont-il chercher ça ?"
Pépromène le leur dicte.
Pépromène, la dixième Muse, celle dont la mythologie ne fait pas mention. Seul représentant masculin au sein de cette fratrie qu'il juge désuète et superficielle.
Il y a bien longtemps déjà, Pépromène a quitté le mont Parnasse et, prenant le nom de la fontaine coulant à son pied, a commencé à parcourir le monde, semant à tous vents une inspiration morbide, débridée et rejetant toute limite. Niant la Raison même...
Aujourd'hui, au vingt-et-unième siècle, Pépromène s'est lassé de ses voyages mais certainement pas d'admirer le fruit de ce qu'il inspire aux artistes de tous les horizons. C'est pourquoi il a de toute pièce créé ce village cauchemardesque n'existant dans aucun lieu ni aucun temps. Il y convie des hommes et des femmes, tous artistes, ayant attiré son attention par leur talent, leur psyché ou encore tout simplement par leur potentiel déstructurant... Car l'art véritable auquel aspire la dixième Muse ne souffre ni carcan ni ligne de conduite.
L'antre de la folie
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