Sadismus Jail
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Carys... Heu, non. Elizabeth.

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Elizabeth Sennsy
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Elizabeth Sennsy

Messages : 37
Date d'inscription : 25/01/2010
Localisation : Entre rêve et réalité [Belgique!]

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Carys... Heu, non. Elizabeth. Vide
MessageSujet: Carys... Heu, non. Elizabeth. Carys... Heu, non. Elizabeth. EmptyJeu 28 Jan - 16:34

[En italique, les voix qu'elle entend. Leur apparition n'est pas expliquée dans la fiche. Elle le dira au fur et à mesure des rps ^^ ]

■ Nom : Sennsy.
■ Prénom : Elizabeth. Mais dans mon milieu, on ne me nomme pas ainsi. Non, on préfère m’appeler Carys. Allez savoir pourquoi d’ailleurs. On m’a dit que cela m’allait bien. Mon cul oui. J’ai une tête à m’appeler Amour ? Non, ça doit être pour tromper les gens. Surement.
■ Matricule : Quel toupet de me rabaisser à ce genre de chose ! un matricule. Je n’en reviens toujours pas. C’est une honte, moi une jeune femme, obligée de… de… Ça m’énerve ! *regarde sur ses papiers* Et bien quoi ?! Tout le monde ne peut pas avoir la mémoire des chiffres. Non, je rigole. Je le connais par cœur cet assemblage honteux de numéros qui nous rapproche du bétail. J’aime ce matricule. Il me va bien. Si tant est que des chiffres puissent aller à quelqu’un.466468
■ Âge : Vous désirez réellement le savoir ? Vous avez tout dans mon dossier. Quoi ? Comment ça ce n’est pas mit dedans. Ho et bien ça, ce n’est pas de chance ! Regardez-moi attentivement. Quel âge puis-je avoir ? Cinquante ans peut-être ? Non bien entendu. Je suis jeune et fraiche, une vrai petite femme. Je vais, si je me souviens bien, vers mes vingt-trois printemps. Peut-être plus, peut-être moins, je n’ai de toute manière plus souvenance de ce genre de détails futiles.
■ Sexe : … Quelle question idiote. Je sais que parfois je peux avoir l’air d’un jeune homme vaguement efféminé, mais tout de même ! Je suis une demoiselle. Qui aime parfois se travestir. Qui possède un langage courtois comme châtier. Et oui, je suis tout à fait capable de balancer des mots fleuris à faire pâlir de honte les plus impolis, tout comme je suis capable de parler avec des mots plus savants. Quoi que j’ai horreur de cela.
■ Date de naissance : Te souviens-tu, de ta date de naissance ? Aller, creuse toi la cervelle. Tu vas y parvenir… Réfléchis. Si vous vous taisiez un peu, j’aurais peut-être plus facile ! Oui, pardon. Ils ne me laissent aucun moment de répit. Ils m’assaillent le jour, la nuit. Ils sont mes amis, mais parfois, je les déteste. Les fantômes de mon passé. Donc. Ma date de naissance. Le… 14 mai ! Menteuse. Quoi ? Si vous m’aidiez un peu alors ! Tu n’en as pas besoin… Souviens-toi. De ce jour. … Je m’en souviens merci. Donc. Je suis née le 31 décembre. Ironique non ?
■ Origine : Mon père était anglais. Ma mère bulgare. Mélangez le tout et vous aurez une belle métisse !

Histoire : Je suis la dernière née d’une famille comptant pas moins de six enfants. Oui, famille nombreuse. Mes parents étaient des lapins. Arriver à se reproduire autant c’est dramatique. Donc, l’ainé avait dix-sept ans. Il s’occupait du reste de la famille. Il aidait. Il n’avait vraiment aucune vie à côté de nous. Oui, vu notre nombre, nous étions pauvres. Vraiment très pauvre. Mon père travaillait d’arrache pied pour subvenir à nos besoins et ma mère faisait des boulots à mi-temps pour aider également et être là pour les enfants. Nous en gros. Mais ils nous aimaient. Oui, nos parents nous aimaient comme personne ne pouvait nous aimer. C’était ainsi, nous étions leur progéniture, nous leur appartenions.

Donc je suis née dans une famille aimante. On dit que pour les tueurs en série, les criminels, et autres déchets de l’humanité, il y a eu un fait dans leur vie qui a chamboulé leur esprit. S’ils avaient un père qui les battait, ils auront tendance à être violent. Du moins c’est ce que prétend la science psychologique pour certains cas. Moi ma vie d’enfance a surtout été terrifiante de banalité. Je n’ai pas été adopté, pas maltraité, pas nié. Non, vraiment rien. Je suis juste née ainsi. Déjà toute petite je me démarquais des autres. Ma famille ? Je vivais sous leur toit, je les voyais évoluer. Je restais indifférente à cette agitation. Ils s’entraidaient sans cesse, c’était logique pour eux, naturel. Moi je faisais cela parce que j’y étais obligée. Je n’avais simplement jamais vu l’utilité de me lier plus à cette famille. Bien entendu je les aimais. Je vivais avec eux, je ne pouvais faire autrement que les aimer. Mais c’était sans plus. Mon comportement plus froid a attiré l’attention de mes géniteurs. J’ai été voir un médecin qui pensait que j’étais atteinte d’un cancer. On m’a fait des scanners, mais ils n’ont rien trouvé. J’ai été ensuite voir un psychologue. Celui-ci après plusieurs séances a confié à mes parents qu’il n’avait jamais vu un cas comme le mien. Du moins pas à un âge aussi précoce que le mien. Il disait clairement que j’étais plus avancée niveau mentalité que beaucoup. Oui, plus mature et sans doute plus intelligente. Me faire sauter quelques classes ne me poserait pas de problèmes. Seulement il a confié autre chose. Quelque chose de troublant que mes parents ont rapidement nié. Je ne me souviens plus bien des propos de ce psy, mais en gros, il avait prédit que mon comportement me pousserait rapidement à devenir violente. Oui, j’avais de la colère en moi. Une colère injustifiée. Une cruauté tout aussi injustifiée. Non mes parents n’y croyaient pas. J’étais trop douce. Mais ils m’ont bel et bien fait sauter de classe. J’étais une élève brillante. Parce que je savais que je ne pouvais pas me permettre de rater.

Vers l’âge de dix ans, je me suis passionnée pour quelque chose de morbide : L’évolution de la décomposition des corps en milieux extérieurs. Je n’étais nullement choquée par la puanteur et la vision que cela pouvait occasionner à mon jeune esprit. Non, c’était juste très intéressant. Et vers l’âge de douze ans, il se passa un événement qui chamboula toute ma vie. Un petit garçon, enfin petit… Deux ans plus âgé que moi, me draguait. J’étais déjà mignonne à cet âge là et j’avais attiré son regard. Comme tout garçon de cet âge pense aux filles. C’est normal quoi. Seulement à cette époque, les garçons ne m’intéressaient absolument pas. Je les trouvais laids, immatures et autres. J’aimais les filles. J’ai été passablement dégoutée quand il m’a touché les fesses pour ensuite m’embrasser. En plus d’être con, il manquait d’éduction. Ma réaction fut spontanée, c’est cela qui fut le plus terrifiant. Je lui ai purement et simplement planté ma paire de ciseaux dans la main. J’ai aimé son cri de douleur, j’ai aimé voir son sang couler. Inutile de préciser que j’ai eu beaucoup d’ennuis. J’ai été exclue de cette école et ça a été le bordel pour que je puisse en trouver une autre. J’ai été à nouveau voir un psy qui m’a longuement parlé. J’ai capté rapidement que la violence n’était pas très acceptée dans notre société. Alors autant se calmer. Ou faire cela en cachette.

Dans ma nouvelle école, j’ai fait la connaissance de Nadya avec qui j’ai vécu une belle histoire d’amour. La première véritable en fait. Si je me souviens bien, je devais avoir quinze ans. Elle était plus âgée que moi, c’est elle qui m’a montré les joies du plaisir charnel. C’était vraiment du sérieux. Cette histoire a duré pas moins de deux ans. Il va sans dire qu’elle ignorait tout de mes penchants. Je préférais me taire à ce sujet. Même si cela signifiait que Nadya ne m’aimait pas vraiment pour ce que j’étais, pour moi toute entière. Enfin. D’une manière ou d’une autre elle apprit ce que j’aimais. Elle me traita de cinglée. Mais au final… Tenta de me comprendre. Avant de sombrer doucement dans une douce folie. Et ces parents décidèrent de déménager. Je ne l’aie plus revue depuis.

Pendant ces deux années où nous étions ensemble, je continuais donc mes expériences. Je me suis prise de passion pour l’herbologie et les poisons, les corps et leurs fonctionnements. Tout comme pour la lecture. Bref. Je vais passer sous silence bien des choses pour en venir au deuxième fait qui changea radicalement ma vie : mon premier véritable crime. Un meurtre. Je pense que j’avais seize ans à l’époque. Un meurtre bien prémédité, bien étudié. Oui, j’ai commencé mon office très tôt et de manière plutôt brutale. Il faut avouer que le cadavre retrouvé ne ressemblait plus à grand-chose. Vive les mélanges insolites et déconseillés. J’ai donc continué ainsi longtemps sans jamais me faire prendre. J’eu de nombreuses autres conquêtes, tant féminines que masculine. En vérité, aucune de mes nouvelles relations ne dura aussi longtemps qu’avec Nadya. Mais passons. Je quittai le cocon familial dès ma majorité pour m’installer dans un petit appartement miteux. J’ai obtenu une bourse d’étude et j’ai pu aller à l’université et graver les échelons avec une rapidité déconcertante. Et oui, j’étais en avance sur mes camarades d’études, puisque j’avais vu l’essentiel de la matière par moi-même.

J’ai quitté l’université à vingt et un ans avant de me lancer dans un boulot qui me plaisait. Tout en continuant ma passion à côté. Plus le temps passait, plus je devenais cruelle et douée dans ce que je faisais. Les médias continuaient à me nommer, inventant un nom pour me désigner. Je choquais les gens parce que j’innovais de plus en plus. Oui, je m’étais aussi découvert une envie, un besoin : le cœur de mes victimes était une viande comme les autres. Et succulente qui plus est.
Bref. J’ai été arrêté après près de sept années d’amusement. Je pense qu’aller en prison est aussi une bonne expérience. Je vais m’amuser. Je pense. J’espère. Et tant pis si je ne peux pas m’échapper. Je sais de toute manière, que je ne finirais pas vielle et ridée dans cet espace clos. Soit je m’évaderais, soit je me suiciderais. Je ferais en sorte en tout cas, que mon nom reste gravé dans les mémoires des charmants pensionnaires.

Apparence physique : Heu. Oui heu. Je ne sais pas. Enfin si je sais. Bon. On va faire simple. Je suis quelqu’un qui donne l’une impression de douceur charmante, de clame et de sérénité. Je donne cette impression de pouvoir être souriante en toute circonstance, Rêveuse. Oui, une sorte de petite poupée à protéger. Mais commençons par le commencement.

Tout d’abord, ma taille. Il faut savoir que je ne suis pas tellement grande. La dernière fois que je me suis mesurée, je faisais un mètre soixante-six. Je dois ne pas avoir beaucoup grandis. Non, j’ai quasiment terminé ma croissance. J’ai une stature fine et élancée d’où se dégage une étrange impression de fragilité. Je ne pèse que cinquante-quatre kilogrammes, mais je pense avoir maigrit. Enfin. Je ne me pèse pas pour tout avouer. Je ne fais pas partie de ces femmes qui se regardent sans cesse dans la glace pour se pouponner. Je ne fais pas non plus attention à ma ligne. Je peux manger pour un régiment, je ne prendrais aucun kilo. Parait que j’ai un métabolisme rapide qui élimine tout en un temps record. Allure donc svelte et affinée. J’ai bien entendu ce qu’i faut de « graisse. » Et oui, je pense que les planches à repasser ne sont pas du tout belles. J’ai ce qu’il faut, là où il le faut, dans un tout harmonieux. Je suis aussi musclée. Très légèrement de façon à ce que cela reste discret mais que je puisse un minimum me défendre lorsque je suis à mains nues.
J’ai des cheveux courants je pense. Quoi que non en fait. Parce qu’aussi étrange que cela puisse paraître, j’ai un dégradé de couleur. Cela va du blond clair au brun plus foncé. Mes mèches bouclent légèrement ce qui donne parfois l’impression que je n’utilise jamais de peigne. Mais c’est beau ainsi. D’après ce que j’ai entendu dire. Je laisse souvent mes cheveux lâchés. J’ai une franche qui me tombe sur le front, qui cache mes yeux. Je ne fais généralement rien pour arranger cela. D’autant que cela renforce cette impression de fragilité exquise. Mais yeux sont d’une couleur… étrange. Une sorte de turquoise mélangeant avec subtilité le vert et le bleu. Plongez vos yeux un instant dans mes prunelles et vous saurez que tout mon êtres n’est que mensonge. Du moins, vous le saurez si je vous laisse le deviner. Mes yeux sont deux puits de cruauté, de méchanceté. Et pourtant parfois on peut y lire une véritable douceur et gentillesse. En tout cas vous pourrez deviner aisément que je suis fière. Mais passons, cela c’est donc mon caractère.

J’ai un visage fin et doux, une vraie bouille d’ange. J’ai petit nez droit et fin soit disant adorable. Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre ! Des lèvres tentatrices, pâles, où je passe souvent ma langue de façon aguicheuse. Ma gorge est toujours aussi fine, on peut également voir ma clavicule se dessiner à chacun de mes mouvements. J’aime à penser que cela me donne une sorte de grâce. Ma peau est pâle, très pâle sans que cela en devienne une pâleur maladive. C’est juste… beau. Ma chair est aussi très douce, comme de la soie ou de la pêche. On peut se demander comment cela est possible dans un lieu tel que celui-ci, et en sachant de quel milieu je viens. Mais encore une fois, j’ai beaucoup de chance. Je ne fais rien pour garder cette peau de… nouveau né. Je ne suis pourtant pas parfaite. J’ai un dos –comme tout le monde- mais on peut constater une fois que je suis dévêtue, que je possède une cicatrice, une brûlure qui court de ma hanche droite au milieu de mon dos. C’est une fine marque, du moins pour une brûlure, ce qui reste encore élégant. Du moins, c’est mon avis. J’ai, il parait –d’après une de mes anciennes amantes- une chute de reins à en faire envier quelques femmes. C’est n’importe quoi. L’amour rend aveugle n’est-ce pas ?

Je ne vous ferais pas l’injure de décrire ma poitrine. Sachez juste qu’elle va en proportion avec le reste de mon corps. Ça ne pendouille pas quoi. Je suis jeune et fraiche non mais ! … Une taille fine, attirante, sans qu’on ne distingue mes hanches, des fesses… heu ? rondes et rebondies ? ‘ Voulez toucher ? Heu. D’accord, je continue. J’ai des jambes fines je pense. Et forte. J’entends par là que je peux courir vite. Mes muscles savent fonctionner. Comme quoi, ça a parfois servit pour m’échapper dans certaines situations. Mes mensurations pour les petits curieux ! Pendant que j’ai les chiffres en tête : 85-60-90
85 poitrine; ni trop grande ni trop petite, la juste taille pour serrer quelqu'un dans ses bras.
60 taille: fine pour y poser ses mains pour danser.
90 fesses : bon petit cul bien ferme à taper ou à caresser. (le premier qui tente sans mon accord, je le frappe.)

Niveau vestimentaire, je ne fais pas bien attention. Je prends ce qui me passe sous la main. En règle générale, c’est simple, uni et sombre. Il faut que cela soit confortable. Je porte souvent de petits décolletés gentils.
Ho avant que je n’oublie. J’ai de longs doigts fins. J’aime beaucoup mes doigts. Et dernier petit détail. J’ai quasiment toujours quelque chose dans la bouche. Que cela soit une cigarette, (vraie ou en chocolat) une sucette, un petit bâton. N’importe quoi.


Caractère : Tu es cruelle. Je suis douce et aimante. Gentille et compréhensive. Menteuse, trompeuse, manipulatrice ! Je suis honnête et courtoise, je m’efforce sans cesse de dire la vérité. Fourbe… Mais vous allez la fermer oui ? Je tente de donner une bonne image de moi ! Vous me cassez les oreilles à me hurler tout cela ! … Parce qu’on n’a plus le droit de tenter de se montrer sous son meilleur jour ? Ha. Vous désirez vraiment savoir mon caractère. Mon vrai caractère. Et bien, comme mes aimables voix me l’ont fait si gentiment remarquer, je suis cruelle. Pas besoin de dessin pour expliquer cet état de fait. J’aime voir les gens souffrir. La douleur m’intéresse. Je manipule les gens et leurs émotions pour parvenir à mes fins. J’ai un esprit tordu qui aime penser à des tortures, n’importe lesquelles, des plus irréalisables aux plus faisables.

Mais une autre vérité vient s’ajouter aux autres. Je suis imprévisible. Mes réactions ne sont pas régies par un mode de pensée normal. J’agis sur des coups de tête, sur des émotions passagères mais toujours en réfléchissant à mes actes. C’est étrange non ? Le fait est que c’est ainsi, comme si une partie de mon cerveau continuait d’analyser le tout pour m’éviter les gros ennuis. Ça avait bien fonctionné jusqu’à maintenant. Les flics qui m’ont arrêtés avaient été prévenu que je n’étais pas ce que je semblais être, qu’il ne fallait surtout pas si fier aux apparences. Quelques crétins se sont laissés avoir par mon jeu, mes mensonges et mon physique. Ils ont payé le prix le plus élevé. Mais cela ne m’a pas aidé. On m’a traité de folle furieuse, mais des gens ont nuancé cela. Une folle ne pourrait certainement pas faire ce que je faisais. N’importe quoi vous dis-je ! Je suis au dessus de « folle ou pas folle. » Se rabaisser à cela est trop stupide. Il faut voir au-delà de tout ça. Mais je vous accorde qu’il faut peut-être une case en moins pour ôter si froidement et sans remord, la vie d’autant de personnes. Quoi que. En fait, c’est l’éthique qui nous empêche d’agir comme nous le désirons. Combien n’ont jamais pensé « je voudrais qu’il ait mal, qu’il paye pour ce qu’il m’a fait ! » Combien n’ont jamais souhaité faire vengeance sans jamais passer à l’acte ? Une partie de notre cerveau nous en empêche en réalité. L’éthique. Le fait que si on tue notre prochain, on sera hors de la norme. Un tueur.

J’ai toujours aimé être avec des gens plus âgés que moi. Les plus jeunes sont d’une immaturité insupportable, j’ai besoin d’avoir des gens plus âgés autour de moi. Même si en me voyant agir, on pourrait parfois se dire que je ne suis qu’une gamine. J’agis parfois comme une gamine, une enfant. Cela arrive à tout le monde non ? Je suis aussi intelligente et maligne. Enfin je crois. Pour tuer autant de temps sans se faire prendre, c’est que je dois avoir un peu jugeote et de débrouillardise. Il faut aussi savoir chez moi que ceux de mon « espèce, » les tueurs je veux dire, m’ont toujours beaucoup intéressé. J’ai l’impression qu’on peut se comprendre. Même si dans la classe meurtrière, il y a toujours des variations. Moi je crois qu’on m’a classé dans « très dangereux » Parce que je ne tue pas en essayant de me venger, ou autre. Je tue pour le plaisir. J’ai conscience du danger, mais… Je vous assure que j’aime le danger. Ça me fascine.

Je suis une rêveuse dans l’âme, j’aime beaucoup l’art. Je dessine à mes heures perdues. Et j’avoue en avoir à revendre depuis que je suis ici. Je suis calme. Du moins, je peux rester calme longtemps. Mais comme je suis imprévisible, il se peut que je rentre dans des colères inexpliquées et dangereuses pour moi et mon entourage. Je peux devenir une véritable furie. Il parait que je fais très peur dans ces moments. J’ai un sale caractère en fait. Je suis aussi têtue qu’une mule, et plus encore. Je suis quelqu’un de curieuse par nature. J’aime faire de nouvelle expérience, toucher à de nouvelles choses. J’ai peur de vieillir, de devenir sénile. La vieillesse, la vraie, me terrifie. Et aussi étrange que cela puisse paraitre, je peux me montrer très douce et gentille. Ça se peut oui. D’ailleurs c’est souvent ce que je montre aux autres. Ce masque presque factice est plus pratique que celui de l’indifférence et de la cruauté qui me caractérisent si bien. Je suis rancunière. Enfin je crois. Je rumine mes pensées, les coups bas que l’on me fait. Et vu que je suis doté d’une patience extrême dans certaine situation, je peux attendre longtemps avant de faire quelque chose pour celui qui aura osé trop attirer mon attention. J’ai le rire facile aussi. Ainsi que le sourire. Et maintenant je vais me taire. Z’avez qu’à venir me causer pour mieux me connaître bande ___

Heu. Oui. Les médecins ont dit que j’avais des tendances schizophrènes. Je ne pense pas. Je suis juste imprévisible.

Ancien emploi/occupation : J’ai étudié pour devenir biologiste. Je suis biologiste. Le corps humain à peu de secret pour moi. Tout comme les plantes et autres substances dangereuses et nocives. … Connaissance du corps humain et des réactions qui peuvent se faire, imaginez, deux substances qui se rencontrent dans un corps, une réaction lorsqu’elles se rencontrent… Une petite explosion, une brûlure grave impossible à soulager… Ha que de bons souvenirs tout cela ! Oui, spécialiste dans les poisons. Biologiste qualifiée qui étudiait en plus la chie et autres petits machins utiles.
Orientation sexuelle : J’ai connu de nombreuses mains, en majorité celles de femmes. Leur douceur m’a souvent fait fondre. Pourtant je dois avoir aimé aussi la gente masculine. Eux aussi avec leur maladresse, leur rudesse et autres défauts, me passionne. Je dois donc être bisexuelle.

■ Accusations portées contre votre personnage : Heu. Attendez, vous rigolez ? Non mais vous avez lu mon dossier oui ou non ? Tsss. Pyromane. J’aime le feu. J’ai brûlé quelques poubelles. Et quelques maisons. Et quelques personnes aussi d’ailleurs. C’est drôle de voir des gens transformés en torches vivantes. Ça bouge partout, ça crie. Oui, c’est très bruyant. J’ai craqué quelques allumettes, avec du papier et du combustible, ça prend rapidement. Assassin ! J’ai tué des gens. J’aime faire des expériences, voir jusqu’où la douleur est tolérable. Ça varie tellement d’une personne à une autre ! Cannibale ! Bon écoutez, lorsqu’ils sont morts, ils n’ont plus besoin de tout ça ! et encore moins de leur cœur. Et puis ce n’est que de la viande. On cuit le tout, on assaisonne et hop, ça fait comme du cœur de cochon. Délicieux. Tu nous as brûlés, torturés, tués, mangés, empoissonnés ! Meurtrière…
■ Armes : J’utilisais essentiellement des couteaux. Les armes à feu, c’est barbare. Et des allumettes et autres machins qui aidaient à mettre le feu. Bref, je sais utiliser tout ce qui me tombe sur la main. C’est ce qu’on appel être débrouillard.

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Comment avez-vous connu le forum ? En cherchant quelque chose d’intéressant. Sur un top site ! XD
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Jefferson
645987 Éternel frustré
Jefferson

Messages : 724
Date d'inscription : 13/01/2010

Votre personnage
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Carys... Heu, non. Elizabeth. Vide
MessageSujet: Re: Carys... Heu, non. Elizabeth. Carys... Heu, non. Elizabeth. EmptyJeu 28 Jan - 22:26

O.O

...

J'ai pas vu de fiche aussi longue depuis... des années-lumières... (l'omission du n' devant le ai est voulu - tututututu)

Quelle motivation.

*l'applaudit férocement - on peut applaudir férocement?*

Je prends note de me tenir loin de ton personnage... Very Happy mais naaaaaah Sympathique petite chose...

Amuse-toi, blesse les gens vas-y fort eeeeeet bon jeeeeeeeeu Very Happy

Je te mets ton rang et ton groupe Very Happy
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Carys... Heu, non. Elizabeth.

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