Chapel, Emy - Le bonbon fou. (En construction)

Invité

■ Nom : Chapel
■ Prénom : Emy
■ Matricule : 264100
■ Âge : 21
■ Sexe : F
■ Date de naissance : 1 Janvier 1979
■ Origine : Américaine

■ Histoire : Je ne suis pas coupable du meurtre dont on m'accuse. Ce n'est pas ma faute si elle les gardait pour elle... pour elle toute seule ! Cette sale peste, elle m'y a obligé ! Elle me regardait avec ses petits yeux porcins, argh ! Elle voulait que je la tue, et seulement pour ça, je ne devrais pas être ici ! Mais pour me comprendre, il faut d'abord que je vous explique depuis le début...

C'était le 1er janvier 1979. Le jour de l'an, jour de fête. Et bien pas pour ma mère. Minuit sonnait et elle était en plein travail sur un lit d'hôpital à Las Vegas. Supposément qu'elle y a connu mon père durant un des nombreux spectacles qu'elle donnait, ma mère était danseuse. Très jolie, elle m'a montré des photographies. Enfin bref, je ne suis née qu'à 3h49 du matin de la même manière que tout le monde, enfin je crois. Ma mère m'éleva seule à Las Vegas pendant encore 4 années et lorsque sa tournée pris fin nous partîmes au New Jersey. Là-bas, me disait ma mère, il faisait bon vivre et les gens étaient gentils.

Aujourd'hui, je ne suis pas de cet avis. Il n'y a pas grand chose à dire de l'année qui suivi notre déménagement à part le faite que les rues étaient beaucoup moins lumineuses et que ma chère mère ne se doutait de rien. À mes cinqs ans, j'entrai à l'école. Erreur fatale, j'aurais dû rester à la maison. Au début, on me disait ''peste'' ou ''trouble-fête'', mais au fil des ans, les psychologues scolaires dirent que j'avais un ''problème de santé mentale''. Mais de quoi ils parlent ?! Je vais très bien ! Ce n'est pas parce que je pince, tire les cheveux et pousse un garçon (il l'avait cherché) du haut d'un escalier que j'ai un problème mental. Pff, il en savent quoi eux de toute façon ? Au secondaire, je fut mise dans une classe spéciale avec ''les gens comme moi''. Tout allait bien pourtant, les années qui suivirent se firent dans le calme et la paix de tous, même si j'avais effectivement une petite tendance à maltraiter mes copains de classe.

Puis un petit incident sans grande envergure vint tout boulverser dans ma petite vie jusque-là morne et sans reliefs. La mort de ma mère évidemment. Comment oublier cette pauvre femme ? Je suis contente qu'au moins elle soit morte dans le bon moment, elle ne serait pas fière de moi la chère dame. L'annonce de sa mort ne me fit ni chaud ni froid, à seize ans j'étais complétement déconnectée de la réalité à cause de tout ces médecins qui me rendaient visite à la maison et me faisaient avalés des trucs horribles qui me rendaient totalement gaga. Je dois avouer qu'encore maintenant la mort de ma mère ne me fait pas plus de mal qu'une piqûre de moustique. Je fut envoyée en famille d'acceuil et lah les problèmes commencèrent pour de vrai. On me diagnostiqua une schizophrénie sévère et une addiction aux sucreries. Elles me rendent dingue. J'en veux. J'en veux toujours plus. J'en ai besoin. À mes dix-huit ans, la famille qui m'avait acceuillie subissait la perte d'un de leur enfant. ''Écorché vif'', disaient les médias. Des griffures partout sur le visage et le corps. On a jamais pu me relier au crime. Heureusement.

Je parti de mon côté cette année là, pour vivre dans ma propre demeure. Je n'y restai pas longtemps. Deux semaines après, cette sale garce de voisine donna des réglisses à sa fille. Elle la mangeait si lentement... je la voyais de l'intérieur de la maison, sur sa petite trotinette rose ornée de délicieux ponpons. Lorsqu'elle me vit, elle fourra la réglisse au complet dans sa petite bouche d'enfant gâtée pourrie. La salope ! Je me ruai en dehors de ma maison et puis vous connaissez surement la suite..

On me traîna en cours, je perdit, évidemment, puis on me traîna de prisons en asiles, puis de nouveaux en prison mais cette fois-ci me dit-on, je resterais ici... à Sadismus..

■ Apparence physique : Je suis très jolie, grande et mince. Lorsque j'avais encore le droit de le faire, je prenais énormement soins de moi. Mes cheveux étaient toujours placés comme je le voulais, ce qui veut dire : lissés au maximum et d'une jolie couleur rose. Ce n'est pas naturel bien entendu. Mes ongles étaient peints de couleurs vive, mes lèvres pulpeuses et mes yeux bleus (qui ravissaient énormement de coeurs) mit en valeur grâce à un astucieux secret venant de ma mère.

Maintenant, en prison... mes cheveux sont sales et partent dans tout les sens. Ils sont heureusement, mais surtout étrangement, restés roses. Mes ongles sont atrocement laids et mes lèvres n'ont plus cette pulposité. Par contre, mes yeux sont toujours aussi bleus et vivant. Malgré toute cette laideur, je souris.

Je ne m'habille pas de façon très conventionnelle. J'aime ce qui fait mal aux yeux. Et puis en plus de cela, moins il y a de tissus, mieux c'est ! J'aime les accessoires voyants comme les oreilles d'animaux, les ailes d'ange et tout le tra la la habituelle. J'aime bien me maquiller, mais ici ce n'est pas possible, malheureusement.

■ Caractère : Lorsque je ne suis pas dans une crise, je suis d'un naturel très enjouée. J'adore rencontrer de nouveaux visages et je m'entends bien avec tout le monde, même avec une petite tendance à maltraiter mes proches. J'ai toujours le sourire aux lèvres et je suis très extravertie. Je me faisait souvent pointer du doigt lorsque je n'était pas en prison. On me traitait de folle parce que je criais pour tout et pour rien. Je suis très naïve mais ne m'en plains pas. C'est ce qui fait mon charme, je crois. Pour mes défauts, je n'ai aucune patience et je me met facilement en colère si on m'agresse directement. Je déteste lorsqu'on se joue de moi trop souvent. Les gens manipulateurs me répugnent, tout comme ceux qui se croient meilleurs qu'ils ne le sont en réalité. Lorsqu'on me blesse ou que je suis triste, on le sait immédiatement. je ne suis pas du genre à refouler quelquonque émotion !
Lors d'une crise, je suis complètement incontrôlable. Et si je suis dans un crise, c'est que vous m'avez montré des sucreries et ne me les avez pas données. Je deviens aggressive et une intense folie meurtrière s'empare de moi. C'est comme si une autre personne s'emparait de moi, sans que ce ne soit véritablement le cas.

Je trouve important d'avoir des rêves, des ambitions et des passions. Sinon, ou est le plaisir dans la vie ? Parlant de plaisirs, je me réjouie de chaques petites joies que ma piètre vie a à m'apporter. Ce n'est pas parce que j'ai étée diagnostiquée avec une schizophrénie grave et une habiletée à tuer quiquonque ne me donne pas ses friandises que je ne suis pas une amoureuse de la vie. Au fait ? Vous voulez connaître ma passion ? Le dessin. J'adore.

■ Ancien emploi/occupation : Aucune
■ Orientation sexuelle : Bisexuelle

■ Accusations portées contre votre personnage : Meurtre d'une petite fille de son quartier.
■ Armes : Ses ongles.
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■ Comment avez-vous connu le forum ? C'est la faute de Samm. Smile

Invité

Je dois changer quelque chose dans l'histoire ou elle semble okay ?

Je l'ai lue en diagonale parce que le matin je suis un peu à la bourre : mais vite vite, ça m'a l'air ok. Si quelqu'un a autre chose à dire qu'il le fasse xD

Invité

Yeaaaah tu t'es inscrite <3

Invité

Oui je me suis inscrite ! ^^
Sa faisait longtemps que j'avais vue un forum qui avait un sujet l'fun de même ! xD

J'ai terminée ma fiche ! (Enfiin)
J'espère l'avoir fait comme il se doit ! ^^

Invité

J'adore ton personnage. C'est une cinglée heureuse. XD
Validée ^^ Je vais te mettre ta cellule et ton matricule.

Invité

Qué passà ? Hahahaha !
Merci bien, c'est l'impression que je voulais faire avec Emy. Une cinglée heureuse ! xD J'aime bien! Haha !
Shakiki, mon kit je l'ai fait avec Photofiltre alors... U.U Duhh...

Invité

Photofiltre c'est de la bombe quand ont le connais bien x)

Invité

Ouais mais même à ça j'ai seulement recadré mes images ! xD

Ah j'ai pour mes dires que la simplicité a toujours bon goût.

Invité

Ah alors pour ça je suis d'accord ! ^^