■ Nom : Arther ■ Prénom : Philippe ■ Matricule : 0002 ■ Âge : 25 ■ Sexe : Masculin ■ Date de naissance : 02.02.1985 ■ Origine : Française/Américaine
■ Histoire : Je suis né aux États-Unis, près de Las Vegas. Mes parents étaient français, et pourtant j’avais une tête d’asiatique. C’est pour ça que je me suis toujours demandé si j’étais pas adopté ou que mon père ne l’était pas réellement. J’ai grandi aux Etats-Unis. Je pense que j’ai eu une enfance normale. Après l’école, j’ai fait un peu de droit et de science, deux ans, mais ça ne me motivait pas trop. Je me suis engagé dans l’armée, on m’a fait sniper. Bof… buter des gens, je ne vois pas trop l’intérêt. Moi, c’est l’intérêt de faire du sport pendant le boulot et rien d’autre qui m’intéressait. Je m’y suis entraîné, on disait que j’étais plutôt bon. On a voulu m’envoyer en Irak, et on m’a laissé le choix : Irak ou démission. Je me suis barré après deux ans de service. J’ai repris des études un an en France où j’y ai appris pas mal de langue, mes parents m’ont dit que c’était idiot vu que je ne parlais pas. J’ai du me les payer en bossant dans une agence de sécurité. J’en ai eu vite marre, polyglotte, c'est pratique, mais vite assimilé. J’ai cherché un endroit ou je pouvais être peinard. On m’a envoyé dans une autre agence de sécurité, ou je devais surveiller une station quelque part sur la banquise. Ca m’a beaucoup plus. Les scientifiques ne faisaient pas trop attention à moi. Je bossais la nuit, eux le jour, et parfois on se croisait, quand il y avait quelque chose à réparer, sinon non. J’y suis resté cinq ans et des poussières. Après des nouveaux scientifiques m’ont pas trop apprécié, je me suis fait viré, retour en France, avec un "asocial" dans mon dossier, au cas où le CNRS ait encore affaire à moi. J’ai voyagé avec ce que j’avais massé de mon précédent job. Moyen Orient, Asie, Suède, Finlande, Irlande, Angleterre, Allemagne. Là j’ai décidé de me poser. Trois mots : blanchis loger et nourris. J’ai suivi l’offre suis resté presque un an à surveiller des reclus de la société dans une prison. Ce qu'il s'y passait, je n'étais pas très regardant. Ne pas se mêler des affaires d'autrui quand ils ne se mêlent pas des vôtres, pile ce qu'il me fallait. Lors de mon premier jour de congé, ça a cramé. J'ai un peu participé aux recherches, assez pour avoir buté un pensionnaire en quête d'un pigeon à détrousser. Ca m'a valu une enquête interne. Sadismus, on voulait savoir ce qu'il s'y passe, et on a essayé de passer par moi. Pas de chance, je ne parle pas.
■ Apparence physique : Quand je me regarde dans un miroir, je vois une silhouette qui dégage rien de spécial. Plutôt fine, presque maigre. Quand je me regarde torse nu, on voit les tous les muscles se dessiner. Un fille m’a dit un jour que j’étais musclé mais que ça se voyait pas. Je ne vois pas trop l’intérêt de montrer qu’on est musclé. Les cheveux noirs, un peu en bataille parce que je vois pas trop l’intérêt de me coiffer. Des yeux bridés mais pas trop. J’ai toujours aimé mes yeux où on n’y distingue difficilement la pupille, la prunelle ou l’iris. Tout est assez noir, avec quelques éclaircis quand on y regarde bien. Mais pour cacher cela, je porte une paire de lunettes. Elles ont l'avantage de cacher mes yeux, et par la même occasion de cacher ce que je regarde. J’ai le visage lisse, pas trop gros pas trop fin, juste comme il faut, un nez normal, p’tet un peu écrasé à la façon des asiatiques. Ma peau est bronzée, mais on peut y voir un soupçon de teint asiatique. Bref, je suis quand même assez typé asiatique, même si à ma connaissance, j’en ai pas eu dans ma famille.
■ Caractère : Je n'en ai pas. Enfin, c'est ce que le psy d'aptitude à l'exercice de la spécialité de sniper a mis dans mon dossier, et c'est ce qui a du leur plaire. Je suis assez amorphe, niveau sentiments, et tout le bordel que ça entraîne. Comme dit, je ne parle pas beaucoup. La plupart des gens qui parlent le font pour dire des conneries, je préférerai qu'ils se taisent. Alors je me tais. Dire ce qu'on pense est tout aussi con, ça enlève le principe même de "penser". J'ai l'avantage d'avoir une bonne capacité de concentration et d'assimilation. En gros, quand je fais quelque chose, je le fais bien. On n'a jamais pu me reprocher d'avoir fait une connerie dans un de mes métiers. Tous ce qu'ils on trouvé, c'est de dire que je m'en foutais de tout. Un petit inconvénient de mon état d'esprit que je ne sais pas caché: ma silhouette et mon attitude dégage un "je m'en foutisme" permanent. Ce qui tape sur les nerfs de pas mal de monde, qui du coup, me font chier. Il n'y a pas grand choses que je recherche. Le béa bas, c'est la tranquillité, loin d'emmerdeur et de conneries en tout genre. J'aime pas les cons. L'emmerdeur a parfois le mérite de ne pas l'être, aussi je le tolère. Mais la connerie, je considère ça comme acquis, pas comme inné, aussi je la fuis, et je la méprise.
■ Ancien emploi/occupation : Chômage ■ Orientation sexuelle : Hétérosexuel
■ Poste occupé dans la prison : gardien ■ Armes : Le point positif du glock, c'est qu'il ne craint pas la flotte comme la plupart des armes à feu, c'est pour ça que j'en ai 3, dont un que j'affectionne tout particulièrement. C'est une bonne arme. Bien qu'en terrain sec, j'opte pour un Sig, plus précis, meilleure portée. Sinon, un couteau, toujours. Dès qu'il y a une situation précaire et emmerdante, ça sert à quelque chose, un couteau. Un enseignement utile de l'armée. ______________________ ■ Comment avez-vous connu le forum ? Sadismus, v1.
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Sujet: Le flegmatique 
