Sadismus Jail
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Dimitrov (fini)

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Dimitrov (fini) Vide
MessageSujet: Dimitrov (fini) Dimitrov (fini) EmptyJeu 14 Jan - 22:23

¦ Nom : Dimitrov
¦ Prénom : Jad
¦ Matricule : 792812
¦ Âge : 24 ans
¦ Sexe : Masculin
¦ Date de naissance : 13 novembre 1986
¦ Origine : Bulgare

¦ Histoire :
La première fois que je l’ai vu, c’était à Видин…Vidin, si vous préférez. Une bonne grande ville au nord-ouest de la Bulgarie. Je n’y étais pas né, étant issu des régions campagnardes où mon père, Boris, m’avait élevé tandis que ma mère Julia emportait le plus jeune après une longue procédure de divorce. Mais, j’y avais débuté des études en Littérature quelques années plus tôt. J’avais abandonné après seulement un an, par désintérêt mais m’était déjà encré dans mon petit quotidien à Vidin. À 19 ans, je n’étudiais plus, je travaillais à temps plein et je payais un appartement avec quelques colocataires. Je voyais mes parents de temps en temps. Chaque été, j’allais passé quelques semaines au chalet de mon père.

La première fois que je l’ai vu…
Elle s’appelait Nina Kristeva (mais je ne l’avais su qu’après quelque recherche).
Nous nous étions aperçus dans un bar. Nina avait 14 ans. Elle avait utilisé une fausse pièce d’identité, sans doute et elle ne paraissait pas si jeune, il est vrai. Le maquillage y était pour beaucoup je suppose. Donc, elle était presque de 10 ans ma cadette. Mais, tout de suite, au premier regard, j’ai su que cette différence d’âge ne changerait rien. Ce fut le coup de foudre. Pour nous deux, visiblement. Nous nous échangions des sourires, des regards. Je l’appelais mon Amour dans mes pensées dès ce jour. Nous ne nous étions pas parlé ce soir là mais nous n’en n’avions pas besoin. Ni elle, ni moi n’en n’avions besoin. Elle est ressorti du bar à 1h du matin, un peu pompette. Avec des amis. Ils étaient monté en voiture et je les avais suivi discrètement, dans ma propre bagnole. J’avais noté la plaque d’immatriculation, juste au cas où. Mais, ce n’était pas sa voiture à elle mais à l’une de ses amies. Je laissais deux ou trois automobiles se glisser entre nous, juste assez pour ne pas être remarquer sans pour autant les perdre de vu. Je voulais savoir où ils allaient et je voulais la retrouver. Elle le voulait aussi, certainement. J’étais son Amour aussi. À peine dix minutes plus tard, la voiture s’arrêtait pour déposer ma Tendre. Il ne fallait pas un génie pour savoir que c’était chez elle. J’ai noté l’adresse et je suis allé dans la direction opposée à celle de ses amis qui ne m’intéressaient pas le moins du monde.

Je n’ai plus pensé qu’à elle. Constamment. J’en oubliais tous ces Conspirateurs qui soufflaient dans mon dos depuis ma naissance. Ces Conspirateurs qui m’avaient traîné en Justice pour le meurtre de cette imbécile. C’est de leur faute si je n’ai pas poursuivis mes études. De leur faute à eux uniquement. Mais, maintenant, il n’y avait plus que mon Amour qui comptait. Avec ses grands yeux légèrement en amande. Ses longs cheveux blonds. Pendant trois mois, je ne l’ai pas revu. Et ça me frustrait. Des absences, il y en a eu beaucoup durant cette période. Je la cherchais. Je retournais à ce même bar continuellement. Puis, je me suis même décidé à emprunter une voiture à un colocataire pour traîner dans son quartier sans que le voisinage, des Conspirateurs eux aussi j’en suis sûr, ne me reconnaisse car j’étais déjà passé souvent avec la mienne. Puis je me suis mis à la suivre, de temps à autre. Pas trop souvent car j’étais plutôt timide. Il pouvait se passer de longue période entre chacune de mes visites. Ce cirque dura un an. On s’aimait sans mot. Je ne voulais pas la brusquer. Ma Nina.

Puis, un jour, nous nous sommes rencontré à une fête. Tout à fait par hasard. Un de mes colocataire organisait une soirée et le bruit avait attiré quelques invités improvisés qui passaient par là. Parmi eux : Nina. Ma Tendre. Mon Amour. Ma Merveille. C’est à ce moment que nous nous sommes parlé par autre chose que les regards pour la toute première fois. Poussé par l’ivresse de l’alcool et l’euphorie des vacances scolaires qui débutaient et, je n’en douterais jamais, par son Amour pour moi, nous partions dès le lendemain elle, moi et quelques uns de ses amis à mon chalet en campagne. Nous nous faisions la fête et nous nous baignons nu au lac. Ça dura peut-être quatre jours. Je n’aimais pas ses amis, je les soupçonnais d’être des Conspirateurs eux aussi (doute qui fut fondé par la suite) mais je les tolérais pour Nina. Le quatrième jour, la bière vint à manquer. Ses trois amis partirent donc sur la route. L’un pour la bière. L’un pour téléphoner à sa famille puisqu’il n’y avait pas de réseau dans ce coin reculé et l’autre pour Dieu sait quelle raison. C’était l’occasion en or de me retrouver seul avec ma Bien Aimée.

Une chose en entraînant une autre, je vous passe les détails, nous avons fait l’Amour dehors. M’enfin…Je l’ai cru consentante jusqu’au moment où je pris conscience de mes mains plaquant ses poignets au sol et de ses cris. J’étais absolument persuadé qu’elle voulait. J’en ai aussitôt déduis que ses amis avaient parler contre moi. Pour me nuire, uniquement. J’ai essayé de la calmer mais elle pleurait et criait. Elle me traitait de cinglé. Elle hurlait des choses incompréhensibles. Je n’ai pas eu le choix de l’assommer. Quand ses amis revinrent, elle n’était toujours pas réveillé et du sang coulait de son crâne. J’ai été cherché une carabine que mon père cachait dans un placard et j’ai été forcé de les abattre. Par la suite, j’ai tenté de soigner ma Belle, que j’espérais être calmée, avec la trousse de premier soin. Je lui ai fait un bandage mais aussitôt qu’elle s’est réveillée elle a recommencé à hurler et à m’insulter de tous les noms pour finalement demander pitié à la vue des corps de ses amis. Je lui ai déclaré mon Amour mais je ne voyais pu le sien dans ses yeux. Ses yeux exprimaient maintenant l’Horreur. J’ai compris que je n’avais pas le choix. Il ne me restait plus de munition (ayant tirer plus qu’il ne le fallait les corps des adolescents). Je n’avais pas le choix. J’ai pris la hache qui traînait près de l’entrée et qu’un des gosses avait essayé d’utiliser contre moi. Je dois d'ailleurs à l'un de ses gamins ma blessure à la joue. J’ai pris mon élan pour la tuer sans cruauté, d’un coup sec. Mais, en tentant de fuir je ne réussis rien d’autre qu’ à lui trancher la jambe.

Je l’ai achevé. Elle est morte.

Quelques mois d’enquête plus tard, quelques autres mois en en cours. Puis me voilà à Sadismus.


¦ Apparence physique : Oh, et bien, par où commencer? De haut en bas ou de bas en haut? D’une vue d’ensemble peut-être? Oui, pourquoi pas, allons-y comme ça. Je mesure dans les classiques 1m80 et pèse peut-être un peu moins de 60kg. Un corps svelte et gracile nous dirons. J’ai une bonne posture bien que, malgré ma grandeur respectable, je n’en impose peut-être pas vraiment. Tant mieux, ça endort les Conspirateurs. Ça les empêche de comploter. De se méfier. Mais…Ce n’est pas de ça que nous parlions. J’ai le teint frais, d’une pâleur uniforme qui contraste avec mes cheveux sombres (nous remontons vers le haut). Sur le dessus, ceux-ci sont mi-long mais rasés sur les côtés. Un mohawk comme on appelle. Une crête. Une iroquoise. Comme vous voudrez…Sauf que je n’ai plus coiffé de cette manière depuis bien longtemps. Mon visage est ovale et deux yeux gris percent ma peau laiteuse. Celle-ci, aidé des os et des cartilages, s’étirent en longueur pour former un nez petit, fin, ordinaire. Plus bas, il y a mes lèvres fines et gercés (par mon habitude d’y passer ma langue continuellement) et de chaque côté, il y a mes joues. Une de celle-ci est légèrement fendu à partir de la commissure de mes lèvres jusqu’à quelques centimètres plus loin. Nous vous inquiétez pas, on m’enlèvera certainement mes points de suture bientôt. Un cadeau de mon Amour. Puis, le reste de mon anatomie se poursuit de mon torse, de mes membres supérieurs et inférieurs, de mes doigts fins. À mon dos, j’ai un bien charmant tatouage représentant un visage lugubre, ayant bien des similitudes avec le visage de l’album The Wall de Pink Floyd. Je l’affectionne particulièrement.

¦ Caractère :
Dur à dire. Quand on parle de moi, on le fait dans mon dos. C’est aussi simple que ça. On murmure, on espionne, on jette des regards, on complote. On me dit imprévisible. Depuis peu l’on me traite ouvertement de cinglé. Mais je ne suis pas cinglé. Un cinglé n’aurait pas essayé de cacher le corps. On me veut du mal, certainement. On est tous contre moi. Tous. Ce sont tous des Conspirateurs. Des gens qui cherchent à me nuire. Mais pourquoi? Je ne sais pas. Je cherche, je cherche. Mais ça ne me vient pas. Ce n’est pas moi qui ait tué mon Amour. Mais les Conspirateurs. C’est de leur faute. C’est eux qui l’ont ligué contre moi. Ils se liguent tous contre moi. Elle n’aurait pas crié s’ils ne l’auraient pas ligué contre moi. Mais, ils ne m’auront pas. Je suis un garçon intelligent. Seul chose que j’admets être une gêne chez moi est ma tendance à régulièrement tomber dans des sortes…D’absence. Je m’arrête soudainement de parler, je réfléchis, je fixe un point. Parfois très longtemps. Je ne sais pas car on ne me l’a jamais dit…Mais je crois…Non, je suis sûr que mes yeux sont insupportables à regarder dans ces moments là. Je vois bien que ça les met tous mal à l’aise. Ça les effraie même peut-être. Lorsque ses absences sont trop fréquente, je me sens succomber à une espèce de mélancolie désagréable. Dans ces cas-là alors je m’isole, j’écoute de la musique (du Pink Floyd, beaucoup) et je me laisse aller dans une absence de plusieurs heures ou bien je m’applique dans une activité qui ne demande pas la moindre réflexion (la peinture à numéro, par exemple). Ces absences arrivent souvent quand je sens que je perds le contrôle de la situation, ça me rend un petit peu nerveux, je le concède. Mais, je suis un garçon intelligent, ça ne dure jamais longtemps. Jamais.

¦ Ancien emploi/occupation : Sans emploi depuis un an. Avant ça, j’ai accumulé quelques petits boulots.
¦ Orientation sexuelle : Hétérosexuel

¦ Accusations portées contre votre personnage : Viol, détention, torture et meurtre d’une adolescente de 15 ans. Meurtre de trois adolescents de 15 à 18 ans. À déjà été intercepté par la police, à quelques reprises, pour voie de fait. Soupçonné du meurtre d’une camarade de classe il y a 5 ans mais innocenté.
¦ Armes : Une hache et une carabine.
______________________
Comment avez-vous connu le forum ? Par Carl mais je suis une ancienne de Dismus.
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Maybeth Greene
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Maybeth Greene

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Votre personnage
Âge: 27
Cellule/Chambre: Chambre 2
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Dimitrov (fini) Vide
MessageSujet: Re: Dimitrov (fini) Dimitrov (fini) EmptyVen 15 Jan - 9:06

*roule de joie*

T'es validée, mushu ! Étrange, ton personnage n'est pas "taré" cette fois xD Je veux dire par là qu'il ne conspire pas contre Babar, qu'il ne s'appelle pas Lady Flower ... etc. Plutôt normal, quoi. Venant de toi, surprenant. Mais ça m'a l'air bien intéressant.

Je te fiche dans la cellule 1, avec Jeffie, Clairval et Leila.

Bon jeu ma poule !
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Dimitrov (fini) Vide
MessageSujet: Re: Dimitrov (fini) Dimitrov (fini) EmptyVen 15 Jan - 16:31

Bah c'est que j'ai créer mon perso en fonction de la gueule de l'avatar (J'avais la flemme de trouver un ava sur deviantart alors j'ai pris dans ce que j'avais deja dans mes fichiers) et j'avais pas de gueule intéressante donc ça a donné ça. Mais, je promets de faire mieux pour le deuxième perso.
(Flood terminé)
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Dimitrov (fini) Vide
MessageSujet: Re: Dimitrov (fini) Dimitrov (fini) EmptyVen 15 Jan - 16:34

    Comme si elle avait dit qu'il n'était pas intéressant , pff patate!
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Dimitrov (fini) Vide
MessageSujet: Re: Dimitrov (fini) Dimitrov (fini) EmptyVen 15 Jan - 16:37

à mes yeux un personnage qui est 'normal' n'est pas un personnage intéressant u_u
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Dimitrov (fini) Vide
MessageSujet: Re: Dimitrov (fini) Dimitrov (fini) EmptyVen 15 Jan - 16:40

Bon sang, on va avoir un plaisir fou dans cette cellule-là!

(re) Bienvenue sur le forum!
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Dimitrov (fini) Vide
MessageSujet: Re: Dimitrov (fini) Dimitrov (fini) EmptyVen 15 Jan - 16:43

Plein. PLEIN de plaisir.
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Dimitrov (fini) Vide
MessageSujet: Re: Dimitrov (fini) Dimitrov (fini) Empty

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