■ Nom : Hyde ■ Prénom : Carl (Au moins je ne m’appelle pas Hortense, et oui, je suis l’emmerdeur) ■ Matricule : 128699 ■ Âge : 39 ans ■ Sexe : Masculin ■ Date de naissance : 26 Juillet ■ Origine : Américaine
■ Histoire :
J’ai toujours dit que je méritais ce qui m’arrivait et c’est probablement vrai. Mais je ne crois pas que mes meurtres aient été assez violents et sadiques pour que je sois forcé d’endurer Sadismus. Et pourtant, ce n’est pas faut d’avoir cherché à sortir d’ici. J’ai tout fait, et après les flammes et bien j’ai cru que je n’aurais jamais à y remettre les pieds. Je me trompais. Ce monde est peuplé de détraqués. Comme celui qui a décidé de remettre la prison sur pied et de faire revenir tous les prisonniers. Je suis de retour ici, après plus d’une année d’absence, et je dois avouer que je ne m’ennuyais pas du tout. J’y ai vécu mes pires années, et je sens que ce n’est pas prêt de se terminer. Croyez-moi.
Je suis devenu un tueur à gage à force de rage et de colère. Si ma vie de gosse c’était déroulée comme prévue, je ne serais certainement pas devenu l’homme que je suis aujourd’hui. Lorsque j’étais gamin je voulais devenir policier, alors il faut avouer que c’est assez ironique n’est-ce pas? Mes parents ont était assassinés par des tueurs. Mon père avait envi d’une vie ou nous n’étions pas forcés de se battre pour survivre, moi, ma sœur et notre mère alors il avait entreprit des petites affaires pas tout à fait louable. Sauf que l’heure de faire des comptes avaient sonnée et malheureusement il n’avait pas été en mesure de satisfaire ses employeurs. Les tueurs sont de véritables ordures, certains pire que d’autre croyez moi. J’ai vu mon père se faire descendre et ma mère se faire violer avant d’être sauvagement assassiné. Je n’ai jamais revu ma sœur et moi j’ai été enfermé dans une pièce qui devait nous servir d’abri nucléaire… J’y suis resté près d’une semaine, sans nourriture, sans eau et plongé dans la noirceur la plus totale. Après avoir été témoin du meurtre de mes parents, c’était un gros choc pour le gosse que j’étais. Je n’avais que douze ans à l’époque. L’on m’a dit que c’est ma sœur qui m’a sauvé, qui a fait savoir aux flics qu’elle avait un frère et ils ont finit par me retrouver. J’étais au bord de la mort, je n’étais plus que l’ombre de moi-même et il fallu au médecin près d’un mois entier pour me remettre sur pied. Mais à ce moment là, je n’étais plus un enfant. Ma tête était bourrée de colère, de rage et d’envi de vengeance…
Il ne m’a fallu que quelques années avant d’être assez fort pour assassiner à mon tour. Mon premier boulot fut pour mon propre compte. Vous devinez? Précisément. Je ne me suis pas gêné pour tuer l’homme qui avait détruit ma vie. J’ai ensuite erré, j’ai tué des gens pour me faire du fric puis un homme m’a repéré. Quelqu’un qui est rapidement devenu un très bon ami. J’ai tué pour lui et je suis devenu son associé. Une vie presque ordinaire à New-York, j’étais un tueur à gage et c’était ma vie. Je ne m’imaginais plus faire autre chose. Mais rapidement ma vraie nature me rattrapa. Ce n’était pas moi, du moins j’avais toujours eu d’autre ambitions même si j’étais dévoré par la rage. J’ai rencontré une femme qui me plaisait énormément et à l’époque j’ai évidement cru que c’était réciproque. Nous avons vécu des mois parfait ensemble, j’étais tellement amoureux que je comptais tout lâcher évidement, foutre le camp et me marier avec elle. Je voyais ma vie tout autrement, je me voyais père, avec un boulot convenable et pas en train d’assassiner des gens et de mettre en péril les gens que j’aime. Sauf que je ne savais pas à ce moment là que c’était moi la personne en péril. Lors de notre nuit de noce bien arrosée, elle m’a droguée. Disons simplement qu’elle n’a pas bien fait les dosages car bien que je fusse bien assommé, je n’étais pas assez endormi. Nous nous sommes battus, j’en porte toujours les cicatrices et elle n’est plus de ce monde pour nous en faire part. Elle m’a ouvert l’abdomen et elle m’a déchiré le dos. Moi, et bien je lui ai explosé le crâne à l’aide d’une bouteille de whisky. Elle m’a également tiré dessus à deux reprises. J’ai appris plus tard qu’elle bossait pour un homme qui voulait notre mort, à moi et à mon associer. Je l’ai bien payé. Et cette salope aussi. Il m’a fallu longtemps avant d’approcher de nouveau une femme. Mais pourtant …
J’ai fini par rencontrer une personne qui m’a approché comme personne ne l’avait jamais fait. Même si je tentais de l’effrayer ou même de lui faire du mal, elle n’abandonnait jamais si bien que je fini par baisser toutes mes gardes. Oui, elle m’avait fait craquer et bien que tout fût assez lent, j’appris de nouveau à faire confiance à une femme. Sauf qu’il fallait bien que tout ne fonctionne pas comme prévu. Il eu une descente au bar, une incroyable descente. Pendant longtemps je me suis demandé si elle était toujours en vie. Moi j’ai été arrêté, comme bien d’autres. Mais elle est parvenue à s’en sortir, après tout elle n’était pas une tueuse. Elle est venue me rendre visite en prison… Avec deux merveilleux enfants, qui étaient les miens. Lorsque les flammes ont détruites Sadismus, j’ai cru que tout était terminé, que j’aurais peut-être une chance de m’en sortir. Mais je dois bien avouer que ce n’était que pour avoir pire. Et soyez certain qu’il était vraiment difficile de faire pire que ce que nous avions avant. Pourtant, c’est bien le cas…
■ Apparence physique :
Je ne suis pas trop laid j’imagine. Je ne suis pas petit, mais je ne suis pas un géant également. J’ai souvent eu l’impression que ma carrure me rend plus petit. Possible, je ne suis pas gros, surtout pas depuis que je suis en prison, mais mes épaules sont fortes, mes bras dégagent de la puissance et tout mon être reflète ma rage et ma colère constante. Je dois mesurer environ 1 mètre 80 et je ne me suis pas pesé depuis trop longtemps pour connaître mon poids. Je suis fort, très fort, mais bien plus à l’aise avec une arme dans les mains que lorsque je dois me battre à mains nues. Mes yeux sont d’un bleu très foncé et mon regard n’est que très rarement éveillé et empli de joie. Il y a très peu de personnes qui me font cet effet. Lorsque je regarde quelqu’un, c’est généralement avec colère et dégout. Je vous laisse donc vous imaginer mon regard déplaisant. Mes cheveux sont généralement courts et bruns, du moins tout dépend de la fréquence à laquelle l’on nous coupe les cheveux ici. Mais disons que si cela dépendait uniquement de moi, ils seraient toujours tenu bien courts et bien propre. Tout comme ma barbe, cela m’insupporte d’en avoir une mais ce n’est pas comme si le choix me revenait. Mes vêtements n’ont rien de d’anormales, je reste généralement le plus sobre possible, les couleurs blanches ou noirs et rien d’autre. À la prison, je me conforme à l’uniforme, ce n’est pas exactement le genre de choses qui me font sortir de mes gonds. En fait, qu’est-ce que j’en ai à foutre de ce que les gens pensent en me voyant? Je ne m’en suis jamais soucié, alors encore moins en prison.
■ Caractère : Minimum 15 lignes.
Je suis un connard, un véritable emmerdeur. Je n’ai pas la moindre conscience et vous savez quoi? Je m’en fiche éperdument. Je n’aime personne et je ne connais pas tellement de gens qui m’ont apprécié dans ma vie. Je n’ai jamais recherché la présence des autres et je me porte très bien seul. Je suis un être impulsif… Franchement, si je dois utiliser un seul mot pour me décrire, c’est précisément celui là que je choisirais. Parfois je maudis mon impulsivité. Disons simplement que je fais des choses qui m’attirent bien souvent d’assez gros ennuis. Qui dit impulsivité dit également colérique. Un mélange assez explosif. Je m’emporte un peu trop facilement et j’ai les poings faciles. C’est juste que je n’aime pas tellement parler, que je ne suis pas doué pour ça et que c’est bien plus simple de frapper. J’ai l’air d’un parfait imbécile comme ça, je le suis un peu, mais je suis tout de même plus intelligent que j’en ai l’air. Je suis un homme respectueux. Croyant, vous le croyez vous? Je porte une croix, une petite chaine que j’ai depuis que je suis gosse. Je ne suis pas assez stupide pour croire qu’une place au paradis m’est encore réservée, mais je crois tout de même en une puissance supérieure, veillant sur les bonnes personnes et sur mes enfants. Mes enfants, parlons en, j’ai d’adorables jumeaux. Des gosses que je ne pourrai peut-être jamais serrer contre moi. Alors si je n’ai qu’un seul regret alors c’est celui là. J’aime mes enfants et je ferrais tout pour être auprès d’eux. Je ne serai peut-être jamais un très bon père, mais j’aimerais tant essayer. Il y a plusieurs choses à savoir sur moi. Je suis claustrophobe. Oh, mais je préfère largement que les gens ignorent ce détail là. Je le suis depuis longtemps et j’ai complètement oublié pourquoi. Comme si mon esprit avait viré ce détail important, mais bien trop terrifiant de ma tête. Il est évident que c’est lorsque j’ai été enfermé après la mort de mes parents. Mais je ne m’en souviens absolument pas. Je suis claustrophobe et à un point très élevé. Je ne supporte pas ma cellule ni les autres petites pièces closes d’ailleurs… J’aime le bon whisky. Pas la bière, ça je déteste. Je suis un fumeur occasionnel, disons lorsque je bois un verre de ce délicieux whisky et lorsque je suis nerveux. C’est l’une de mes manies, avoir très envi de fumer lorsque je suis stressé. J’ai également le tic de glisser une main dans mes cheveux. Oh et autre chose, un détail important, je ne sais pas mentir. Un tueur comme moi n’a jamais eu à le faire. Alors lorsque je dois cacher quelque chose, et bien je deviens nerveux, alors apprenez à reconnaître mes nombreuses manies…
■ Ancien emploi/occupation : Tueur à gage ■ Orientation sexuelle : Hétérosexuel
■ Accusations portées contre votre personnage : De nombreux meurtres. ■ Poste occupé dans la prison : \ ■ Armes : Un fusil. ■ Comment avez-vous connu le forum ? l’ancien Sadismus évidement
Dernière édition par Carl Hyde le Jeu 14 Jan - 23:51, édité 1 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Carl Hyde Jeu 14 Jan - 23:51
Et bien voilà, je dirais que tout y est x)
Maybeth Greene 9130 Propriété de Jeffie-chou
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Sujet: Carl Hyde 
