Sadismus Jail
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Karl Riwerok

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Karl Riwerok
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Karl Riwerok

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Karl Riwerok Vide
MessageSujet: Karl Riwerok Karl Riwerok EmptyVen 22 Jan - 15:53

■ Nom : Karl
■ Prénom : Riwerok
■ Matricule : 701820
■ Âge : 30 ans
■ Sexe : aux dernières nouvelles je suis un homme
■ Date de naissance : 28/10/1979
■ Origine : nationalité allemande

■ Histoire :

Je suis ce qu’on appelle un fils de bonne famille. Je suis né en France, quand mon père y était ambassadeur d’Allemagne. J’y ai vécu dix ans, je parle donc français couramment. Puis mon père a été muté. Italie, quatre ans. Angleterre, deux ans. A seize ans, je suis arrivé aux Etats-Unis.
Mes parents toujours en réceptions, en galas ou en dîners, j’étais livré à moi-même. J’ai commencé à sécher les cours pour flirter avec les filles.
Mes parents ne me donnant pas d’argent pour ce genre de loisirs, j’ai commencé à voler. J’étais plutôt doué, je ne me suis jamais fait prendre. J’ai intégré une bande de jeunes voyous à dix-huit ans. Vol à la tire, racket, deal de drogues en tout genre, tout était bon pour se faire de l’argent. J’utilisais ma ressemblance avec une fille pour attirer nos victimes dans une ruelle sombre. C’est là que je me suis rendu compte que j’étais attiré aussi bien par les garçons que par les filles.
En grandissant, nous avons élargi notre rayon d’action. Nous sommes passés au vol à main armée, au trafic d’armes. Je me suis découvert un talent certain dans leur maniement, tant les armes à feu, de l’automatique au fusil à pompe, que les armes blanches qui ont ma préférence. Du coup, on a organisé des combats au couteau avec des paris et une jolie somme à la clé. A vingt ans, je comptais une cinquantaine de victoire à mon actif, aucune défaite et pas une égratignure. Les parieurs ont cru que les combats étaient truqués. Ils m’ont trouvé un adversaire de leur parti et ont demandé un combat à mort. J’ai accepté, j’ai gagné. J’ai été repéré par un homme de main du Duc, un chef mafieux. Il m’a engagé.
Pendant ce temps, mes parents ne se doutaient de rien, je continuai à la maison d’agir comme un bon fils, bon élève, gentil et bien élevé. Je me suis servi de cette relation de parenté sans aucun scrupule pour obtenir des informations ou éviter une condamnation pour moi ou pour un autre. Quand j’ai eu vingt-et-un ans, mon père a été muté. Japon. Sous prétexte de finir mes études, je suis resté aux USA. Je me suis rapidement élevé dans la hiérarchie. Meurtre, racket, deal, rien ne me rebutait. A vingt-cinq ans, j’étais devenu le bras droit du Duc sous le pseudo Sterben, mourir en allemand.
Mon apparence inoffensive faisait souvent rire nos interlocuteurs, mais une petite démonstration de tir leur suffisait pour comprendre que je méritais mon surnom.
Le Duc était impliqué dans un trafic d’armes à destination des conflits africains.
Lors d’un échange, les forces de l’ordre ont fait une descente. Une fusillade a éclaté entre les trois partis en présence. Avant que j’aie pu faire quelque chose, le Duc et la moitié de nos hommes était morts. Par vengeance, j’ai fait un joli carnage dans les rangs adverses avant de m’enfuir avec mes derniers compagnons.
Malheureusement, l’un d’eux connaissait ma véritable identité et m’a accusé de les avoir vendus. Nous nous sommes battus au couteau. Ce fut l’adversaire le plus redoutable que j’eux à affronter. Plus grand, il bénéficiait d’une allonge supérieure et moi de ma souplesse et de mon expérience. Nous étions du même niveau. Je dus faite un sacrifice pour m’approcher suffisamment. Après un enchaînement, je lui laissai une ouverture et il essaya de me planter son couteau dans l’œil. Je déviai la lame juste assez pour ne pas être tué ou éborgné, me glissai sous son bras en profitant de ma petite taille et lui enfonçai mon arme dans la poitrine.
Alors que je me redressais, haletant, j’entendis un coup de feu et sentis une douleur dans le dos. Je basculai en avant.
Lorsque je me réveillai, j’étais à l’hôpital. Je m’étais pris une balle dans le dos et mon corps avait été abandonné devant un commissariat. C’est la coutume pour les indics.
Sauf que je n’étais pas un indic, mais l’un des hommes les plus recherchés par la police new yorkaise. Au cours de mon procès, j’ai appris que le cartel du Duc s’était effondré. Je n’ai rien nié des accusations portées contre moi, j’ai même avoué d’autres crimes, notamment des meurtres, ça allait éviter que mes camarades soient poursuivis pour des crimes qu’ils n’avaient pas commis, mais je n’ai donné aucun nom, aucune planque.
Mes parents sont tombés de haut. Je n’avais pas donné de nouvelles depuis leur départ pour le Japon, mais ils n’avaient pas non plus cherché à garder le contact. Je ne reçus d’eux qu’un bref message : « Vous n’êtes pas notre fils. Nous sommes désolés ». Je l’ai brûlé et n’ai rien répondu.

Au final, j’ai été condamné à perpétuité et envoyé à Sadismus Jail. Je n’en avais jamais entendu parler, mais j’ai vite compris que ce n’était pas une prison ordinaire. J’y suis resté un an. Une très longue année.
Par chance, je suis resté suffisamment discret pour éviter la majorité des « désagréments » propres à cette prison. J’y ai rencontré des gens intéressants, et d’autres moins.
Mes compagnons de cellule disparaissaient les uns après les autres, sans laisser de traces.
Et puis il y a deux ans, cet incendie. Panique sur le moment, et soulagement ensuite. Sadismus Jail, c’était fini. Nous allions sortir de cet enfer.
J’ai été rapatrié aux Etats-Unis, après tout, j’avais commis tous mes crimes là-bas. L’Allemagne ne voulait pas assumer la responsabilité de mon emprisonnement. Alors je suis reparti aux Etats-Unis, en me disant que peut-être là-bas j’arriverais à m’évader pour faire la peau au salopard qui m’avait tiré dessus.
Manque de bol, je n’y suis jamais arrivé. Pas faute d’avoir essayé, mais après la deuxième tentative, ils m’ont dit que si je recommençais, ce serait la chaise électrique. Et comme je tiens à ma vie, je me suis tenu à carreau. Je pouvais toujours espérer être libéré pour bonne conduite, on peut rêver…
Et puis Sadismus Jail a rouvert, parce qu’un sombre abruti a eu assez de pognon pour le faire reconstruire. Et ce même couillon a rappelé tous les anciens détenus.
On pourrait croire qu’étant aux Etats-Unis, il m’aurait oublié, mais non ! Et me revoilà, au même point qu’il y a trois ans…




■ Apparence physique :
Je ne suis pas très grand, certains diront petit. J’ai les yeux noisette, une couleur somme toute banale et passe-partout qui a le mérite de s’accorder parfaitement avec mes longs cheveux noirs, dont je suis très fier. J’ai dû batailler ferme pour pouvoir les conserver longs en prison, mais quelques « discussions » très privées avec les gardiens m’ont permis de ne pas les couper. Ils m’arrivent jusqu’en haut des fesses, et même si on m’a souvent fait la remarque que pour un combattant au couteau, ils offraient une très bonne prise, je ne m’en suis jamais soucié. C’est bien ma seule coquetterie, alors tant pis. Ce n’est pas comme si j’allais me battre tout les jours, désormais, même si j’ai toujours réussi à entretenir mon corps, pour rester au meilleur de ma forme. Ce qui fait que même après trois ans de prison, je reste souple et musclé, surtout pour compenser mon manque de force relatif et ma soi-disant petite taille.
Pour ce qui est du visage, j’ai des traits fins, sur lesquels l’âge n’a pas vraiment de prise, juste quelques rides aux coins des yeux et de la bouche lorsque je suis préoccupé ou concentré. Par contre, si ce visage presque féminin m’a bien servi, la jolie cicatrice qui court sur ma joue gauche, depuis le coin de l’œil jusqu’au lobe de l’oreille m’oblige à laisser quelques mèches de cheveux revenir le balayer pour la dissimuler lorsque je veux jouer de mon charme… Je ne regrette en rien cette cicatrice, mais elle m’empêche désormais d’avoir l’air inoffensif, qui était pourtant si pratique…

■ Caractère :
Il parait que j’ai un sale caractère. Moi je le trouve très bien. Bon, c’est vrai, je m’emporte assez facilement, surtout si on me dit que je suis petit. Je n'ai pas choisi ma taille, mais elle me plait bien, alors on ne s'en moque pas! En plus de ça je suis rancunier et je n'oublie pas facilement quelqu'un qui s'est moqué de moi. Susceptible et rancunier, deux défauts qui vont bien ensemble!
En dehors de ça, je suis très loyal. Une fois que j’ai accordé ma confiance, je ne la retire pas sans une bonne raison. Par contre, si je suis amener à le faire, mieux vaut commencer à courir, je ne supporte pas la traîtrise. D’où mon éternel regret de ne pas pouvoir retrouver l’homme qui m’a tiré dessus. D’un autre côté, je suis relativement méfiant. J’attends de connaître les gens pour me faire mon propre avis sur eux, je ne juge jamais sur les apparences. Comme on dit, l’habit ne fait pas le moine. D’un autre côté, si mon instinct me dit « celui-là, il est dangereux », je ne vais pas foncer tête baissée !
Je pense avoir dans l’ensemble oublié d’être bête, on ne cache pas à ses parents qu’on est dans la mafia en étant complètement idiot.
La patience n’est pas l’une de mes grandes qualités, mais je peux en faire preuve si j’estime que ça en vaut la peine.
J’estime avoir un certain sens de l’honneur et des valeurs comme la loyauté et le respect.
Enfin, je ne serais pas exhaustif si je ne parlais pas de ma passion pour les couteaux. J’adore cuisiner, c’est comme ça que j’ai découvert que je n’aimais rien tant que la sensation d’un bon couteau dans ma main. Et mes combats par la suite n’ont jamais démenti ce sentiment de plénitude que je ressens une arme blanche à la main. C’est vraiment ce qui me manque le plus depuis que je suis enfermé. Plus encore que ma liberté, je crois.


■ Ancien emploi/occupation : Bras droit du Duc, chef d’un cartel New Yorkais

■ Orientation sexuelle : bisexuel

■ Accusations portées contre votre personnage : racket, vol à main armée, deal de drogue, meurtres de civils et de policiers (j’ai arrêté de compter après le deuxième), trafic d’armes, la routine de la mafia.

■ Armes : deux jolis couteaux en acier de Tolède, faits sur mesure à ma main, qui doivent prendre la poussière dans une boîte à pièces à conviction d’un commissariat New Yorkais…

______________________
■ Comment avez-vous connu le forum ? J’étais sur la version 1 de sadismus jail^^


Edit : j'ai un problème avec mon avatar... il est bien en 170x364, mais ça ressemble à rien...
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MessageSujet: Re: Karl Riwerok Karl Riwerok EmptyVen 22 Jan - 20:13

Pour ton image, héberge la sur www.tinypic.com
Prends le dernier lien qu'ils t'offrent et colle le dans la dernière zone de saisie de ton profil avatar.

Valà ^^

Tu es validé ^^
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MessageSujet: Re: Karl Riwerok Karl Riwerok EmptySam 23 Jan - 7:49

Merci pour la validation et pour l'image (ça marche! Je suis une quiche en matière de manipulation d'images, déjà que j'ai eu du mal à la mettre au bon format...) !!
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Karl Riwerok Vide
MessageSujet: Re: Karl Riwerok Karl Riwerok EmptySam 23 Jan - 9:07

Aucun problème avec moi Smile
On pourra dire que si tu le sais maintenant, ce sera grâce à un maître réputé, grandiose et ...

*SBAF*

ouais bon ... j'ai l'ego dans le piton aujourd'hui !
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MessageSujet: Re: Karl Riwerok Karl Riwerok Empty

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