■ Nom : Lesson
■ Prénom : Pollyanna
■ Matricule : 987453
■ Âge : 22 ans
■ Sexe : Féminin
■ Date de naissance : 1^er janvier 1989
■ Origine : Québécoise d’origine américaine

■ Histoire : Il était une fois (pourquoi ai-je dit « il était une fois » ?), deux jeunes gens amoureux se fréquentent à New York, aux États-Unis. La jeune femme était une Québécoise, tandis que l’homme était un Américain. Ils s’aimèrent tous les deux, et ils mangèrent à un restaurant de sushis. Hé ! Les sushis sont le repas préféré à ma mère ! La femme s’appelait Sara Lapointe et l’Américain se nommait Logan Lesson. Ils s’aimèrent pendant environ quatre ans, et cette journée-là, ils avaient décidé d’aller à un hôtel et de coucher ensemble.
Neuf mois plus tard, le 1^er janvier, j’étais née. Pour ma mère, c’était un présent d’avoir un joli bébé comme moi.
– Tu es une Québécoise née aux États-Unis, comme l’avaient dit mes parents lorsque j’eus atteint l’âge de cinq ans.
Je me souviens qu’à tous les 1^er janvier, on ne fêtait que le Nouvel An, et non mon anniversaire. J’étais bouleversée. Tout le monde, sauf mes parents, se foutait de moi. Ces gens stupides se profitaient de moi en se soûlant dans la cuisine et dans le salon. Chaque nouvel an était la pire journée de ma vie. C’était pour cela que je détestais ceux et celles – excepter mes parents, bien sûr – qui venaient chez nous pour se soûler. Mes oncles et mes tantes me mettaient à l’ignorance, faisant comme si je n’étais pas là. Cela me bouleversait de les voir rire et s’amuser, tandis que moi, je pleurais et je disais tout à mes parents ce que je ressentais.
Ma sœur cadette, Patricia Lesson, était chanceuse. Elle n’est pas née à une date où l’on célèbre un évènement important comme l’Halloween, Noël ou le Nouvel An. Elle est née le 18 novembre, trois ans après moi. Tout le monde le célébrait, mais pas moi. Mes parents suppliaient à tous ceux et celles qui venaient fêter le Nouvel An de célébrer mon anniversaire. Lorsqu’ils entendirent cela, de moins en moins de gens venaient chez nous pour fêter le Nouvel An. Pourquoi étaient-ils si chiants avec moi ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cela ? Je l’ignore, mais j’ai entendu dire qu’ils ne voulaient pas que je sois une fille, mais un garçon. Est-ce pour cela que je suis gauchère ? Ou c’est ma mère qui avait voulu que je sois un garçon ? En tout cas, elle m’a acceptée.

À l’âge de quinze ans, j’étais au secondaire, à la Polyvalente Saint-Jérôme. J’étais, pour tous les garçons qui me voyaient, la plus belle jeune fille de l’école, voire tous les enseignants masculins. Ils disaient que j’avais la beauté d’une déesse, telle Aphrodite, la déesse grecque de l’Amour. Je ne croyais pas aux mythologies, mais lorsqu’un garçon m’appelait Aphrodite, c’était un grand compliment. Certains disaient : « Regarde comme elle est chaude, cette fille ! » Ma mère m’avait dit que, dans son temps, si un garçon disait qu’une fille était « chaude », cela voulait dire qu’elle était une prostituée. Mais aujourd’hui, pour les jeunes, quand un garçon dit qu’une fille est « chaude », cela veut qu’elle est belle… plutôt, très belle.
La même année, j’avais un petit ami. Il était très beau, sexy, légèrement musclé… Il était le garçon parfait. Lorsqu’on faisait l’amour, j’aimais tellement cela que je voulais qu’il recommence. Un jour, par une belle journée ensoleillée, mon petit ami m’a trompée. Il avait embrassé son ex-petite amie. J’étais à la fois fâchée et triste. Je cours vers les toilettes des filles en pleurant. De plus, ce garçon était au 4^e secondaire. Je me demande pourquoi il avait embrassé cette fille que je connaissais à peine.

Quatre ans et demi plus tard, j’avais vingt ans. J’étais partie à New York, où je suis née, pour chercher un petit ami. Je trouvais beaucoup d’hommes sexys. Ces hommes me trouvaient si belle que je couchais avec eux, pas pour l’argent, pour le sexe. Je suis une prostituée nymphomane. Je devais faire l’amour avec beaucoup d’hommes – en autant qu’ils soient sexys et musclés. Je couchais avec une vingtaine d’hommes par semaine.
J’étais toujours à New York, à la recherche de plusieurs hommes à baiser. Un jour, j’avais rencontré un homme très sexy et musclé : j’étais sûre et certaine qu’il était un acteur de films pornographiques. Nous étions allés chez lui, et on allait à sa piscine. Il avait mit, comme tous les hommes que j’ai baisés, un condom sur son organe. Quand il le rentra dans ma « partie intime », je bougeais sans cesse et, subtilement, je lui ai rentré un couteau dans le dos. Oh ! J’avais oublié de vous dire que chaque homme que je baisais, je le tuais. J’ai tué plus d’une trentaine d’hommes.
Pendant des mois, la bande de CSI avaient trouvé mon ADN sur les cadavres. Ils ont trouvé l’endroit où j’habitais grâce à un ordinateur, mais ils ne m’ont jamais trouvée. J’étais effrayée d’aller en prison. Alors, je me cachais…
… mais un jour, ils m’ont retrouvée. La bande de CSI m’ont dit que je resterai en prison pendant plus d’une dizaine d’années. Je dis à un de ces hommes :
– Fuck you ! (« Va te faire foutre », en anglais.)
Ils riaient tous de moi. Adieu maman, adieu papa, adieu Patricia, adieu mes amis… Et adieu le strip-tease… Ah… Les autorités m’ont bien eue.

Rendue là-bas, à Sadismus Jail, on m’a mise en cellule, seule. Les gardes me torturèrent avec des fouets et des chaines. Même si je suis sadomasochiste, c’était très douloureux.
Comme je l’avais dit tout à l’heure, j’étais une strip-teaseuse. J’aimais faire exciter les hommes qui me donnaient de l’argent dans le bar de danseuses Le Garage à Saint-Jérôme.
Me voilà dans une cellule, où je me demande s’il y a des hommes sexys ou musclés. Si j’ai un petit ami dans cette prison, je serai bel et bien heureuse…


■ Apparence physique : J’ai de longs cheveux violet foncé qui va vers le gris et des sourcils extrêmement fins, si fins, qu’au loin, qu’on ne les voit même pas. Mes grands yeux sont rouges – ou bourgognes ? (mi-rouges mi-bruns) – comme le grenat, qui est ma pierre de naissance. De loin, mes yeux paraissent bruns. Ma silhouette semble plutôt séduisante et sensuelle. J’aime porter des décolletés pour mettre ma poitrine en valeur. Mes décolletés sont souvent représentés sous la forme d’une camisole. Il y a aussi, pour la plupart, des cordes minces pour les attacher autour du cou. J’ai des doigts légèrement larges – mais quand même longs. Ma peau ne paraît pas très pâle, mais elle l’est. Ma frange est séparée en « M ». Je ne parais pas meurtrière ; je suis douce comme Athéna, déesse grecque de la Sagesse. Mon nez est petit et ma bouche aussi. Mon visage de jeune fille donne ma beauté exceptionnelle. Tous les jours, je me regarde dans mon petit miroir et je me dis : « Comme je suis belle ! »

■ Caractère : J’ai un caractère changeant, grâce à mon ascendant : Gémeaux. J’ai une double personnalité. La première : c’est que je suis enfantine, lorsque cela me tente. Ma deuxième : c’est que je peux être une personne va faire peur à ceux et celles qui veulent m’affronter. Lorsqu’on me dit quelque chose qui paraît réel, mais que c’est une blague, je le crois. Vous pouvez dire des blagues sur les blondes, parce qu’autrefois, je l’étais. Je peux être très timide lorsqu’on me dit des compliments qui me font chaud au cœur. Je suis une grande amoureuse, qui est à la fois douce, comme une sirène qui ensorcelle des marins par son doux chant, et nymphomane, comme une nymphe qui veut faire l’amour avec un satyre. Lorsqu’un homme sort un condom de la poche de son pantalon, j’ai des fois l’impression de devenir une mante religieuse : tuer le mâle après l’accouplement. Mais depuis qu’on m’a enlevé mon arme – un petit couteau –, je deviens comme j’étais auparavant : une jeune fille sans défense qui veut se faire protéger par un homme ou par une femme. Je suis faible de l’extérieur, mais forte à l’intérieur. Je suis une adulte qui peut avoir un caractère enfantin, dépendamment avec qui je suis… Si, par exemple, je suis avec un homme qui a la musculature d’un bodybuilder, je serai l’enfant. Je suis à la fois curieuse, pour des choses qui ne me concernent pas.

■ Ancien emploi/occupation : Élève, strip-teaseuse et prostituée
■ Orientation sexuelle : Bisexuelle

■ Accusations portées contre votre personnage : Elle a tué plus d’une centaine d’hommes.
■ Poste occupé dans la prison : Pour les employés.
■ Armes : Un petit couteau que je me servais pour poignarder tous les hommes que je baisais.
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■ Comment avez-vous connu le forum ? C’est une de mes amies qui me l’a montré, mais elle ignore que je suis inscrit.